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Ven 21 Mai - 15:53
Encore une fois, tu parcours les longs couloirs sombre de cette assemblée à la recherche de la sortie, tu presses le pas à fin d’éviter de rencontrer et de devoir parler à qui ce soit. Tu as rejoint Émeraude pour survivre à la chute de Salzen, pour comprendre ce qui ce passe en toi et pour toujours avoir quelqu’un pour t’aider en cas de perte de contrôle... Mais à quel prix ? Tu te sens comme un imposteur, pas à ta place.
Tu le vois à leur regard qui se pose sur toi, au murmure quand tu passes proche d’eux. Je te pousse à t’énerver, mais tu résistes. Tu trouves cet enfer fade comparé à celui qui tournoie dans ton esprit... Tu regardes droit devant toi, ton regard d’or captant celui de ton Prince Charmant, ton sauveur alors que tu t’étais foulée la cheville. Tu pousses un soupir et tu viens t’arrêter à côté de lui : « Monsieur Parker merci pour votre aide, que puis-je faire pour vous remercier ? »
Tu pries pour qu’il ne te demande rien, pour qu’il refuse que tu lui rendes quelques choses contre son aide alors que tu ne pouvais plus poser le pied au sol. Tu lui souris attendant sa réponse, impatient de sortir de ce dédale de pièce sombre et de couloir interminable...
Jude Parker
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Ven 21 Mai - 19:14
Marchant dans les couloirs de l’assemblée, je ne sais pas pourquoi, mais je me sens si bien à l’intérieur, c’est étrange, parce qu’avant que mes pouvoirs ne se développe, je ne connaissais rien du coven, mais depuis j’aime bien être ici, parce que c’est ici que j’ai appris à contrôler mon pouvoir et que je dois tout faire pour contrôler mon autre pouvoir.
Depuis que mon regard c’est posé sur Eoghan, je me suis senti comme attiré, une résistance incroyable qui me donne des envies des plus perverses, mais cela dit, depuis que je l’ai aidé et qu’il m’a invité à boire un verre, je n’ai plus eu de nouvelles. Je ne comprends pas les gens qui réagisse comme des bébêtes. Puis alors que je le vois, tel une évidence qu’on devait se revoir, je me mets à essayer de sonder son esprit sans jamais y réellement parvenir, je me mets à sourire tout en le regardant dans les yeux. Je m’arrête prêt de lui, mon regard dans le sien.
« Oh, mais de rien, vous avez eu besoin d’aide et c’est normal que je le fasse. »
Dis-je en souriant. Je lui avais dis que j’étais un super-héro qui aime aider son prochain, en aucun cas, j’avais envie de profiter de la situation, cela dis quelque chose est étrange, ses pensées sont … brouillée, enfin non pas brouiller, mais toute sorte de pensée.Je n’ai pas envie de parler de ça, je ne veux pas lui faire peur, même s’il doit bien se douter de mes capacité surnaturelle, je n’ai pas envie qu’il pense que je le viole … ouais violer dans le sens pensée.
Eoghan Mac Eagla
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Lun 24 Mai - 18:32
Couloirs sombres, longs et tortueux. Dédale sans fils d’Ariane pour en sortir, tes longs doigts graciles glissant sur les murs lisse en béton de ce conclave que tu as rejoint pour survivre. Tu le cherches dans le chercher, tu veux sentir ses yeux sur ta peau, mais à la fois tu ne le veux pas. Douce discorde que j’aime sentir glisser dans ton corps.
Tu lèves tes yeux bleu-vert et croise le regard azur, tu plonges dedans comme tu plongerais dans l’océan, tu viens te perdre dans ses douces prunelles, tu ne peux retenir un doux sourire alors que tu te rapproches de lui. Tu viens lui faire face, levant la tête pour garder le contact avec ses pupilles puis tu viens le remercier pour l’aide qu’il t’a apporté alors que tu t’étais foulé la cheville quelques jours plus tôt, et tu lui demandes ce que tu peux bien faire pour le remercier. « Rare sont ceux qui me seraient venue en aide ici… Vous le savez je ne fais partie de ce Coven seulement par ce que le mien a été annexé… »
Tu viens poser une main sur son épaule, tout deux nous sommes surpris ce geste emplit d’une douceur peu commune venant de toi. Tu fais glisser tes mains sur sa veste, avant de te reprendre et de ramener ton bras vers toi comme si tu venais de te bruler. « Je peux vous offrir un café ? Une bière ? »
Tu reprends ton souffle et tu lui fais signe de te suivre. Non vous n’irez pas chez toi, mais dans un café qui borde l’agence immobilière qui abrite le coven…
Jude Parker
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Mer 26 Mai - 14:27
Je ne pouvais pas faire autrement, d’aider les autres, après tout, c’est grâce au Coven que je savais maîtriser mon pouvoir, alors c’est la moindre des choses d’aider les gens. Je suis rassuré de le revoir, j’avais peur, peur qu’il m’ignore à la suite, qu’il fasse comme-ci je n’étais personne, un monstre ou alors quelqu’un de peu d’importance et en même temps, c’est logique, on ne se connaissait pas. Pourtant mon regard sur lui m’a fait sentir toute chose, j’aime beaucoup sa beauté, son côté indépendant qui n’avait besoin de personne.
Puis sentant son regard dans le mien, je frissonne, j’adore ce sentiment qu’il m’apporte, un mélange étrange, pourtant ses pensées sont toujours hors de ma porté… Je ne comprends pas, enfin j’arrive à entendre, mais c’est brouillon a tel point que ça me donne mal à la tête, c’est bien la première fois que ça m’arrive depuis des années. Alors qu’il s’approche de moi, je peux voir son sourire … ce magnifique sourire, très agréable, magnifique, il m’envoûte et je ne comprends pas comment ça se fait, c’est bien la première fois que je suis sous le charme de quelqu’un aussi rapidement. Je hoche les épaules lorsque je l’entends que les gens étaient rares pour lui venir en aide et je trouve ça bien dommage.
« Je vais être honnête avec toi, les gens sont stupide, tu avais besoin d’aide et je suis venu, c’est normal. Et ? C’est si grave que ça ? Cela ne me dérange pas que ton Coven a été annexé, tu es ici, c’est parce que tu as voulu venir. »
Je ne vois pas le mal et puis ça ne change en rien, j’avais réellement envie de l’aider et sa beauté, je dois bien l’avouer m’a interpeler. Lorsque je sens ses doigts se poser sur mon épaule, je me mets à frissonner, à rougir, puis mon regard toujours poser dans le sien, je me mets à sourire, ouais, je me sens étrange en sa présence et pourtant, il ne me fait rien de particulier. Pourtant, le contact ne dure pas longtemps, a mon grand désarroi, j’aurais voulu que ça dure plus longtemps, des pensées coquines d’ailleurs, mais je me secoue la tête, puis retrouvant mon sourire. Regardant l’heure.
« Oh je ne dirais pas non à une petite bière. »
Et puis en plus en sa présence, je ne pouvais refuser, j’avais envie de le connaître, de réussir à percer le secret de ses pensées qui sont étrange, je ne sais pas, c’est étrange, j’avais l’impression qu’il y avait une force qui me bloquer l’accès. Puis lorsqu’il me fait signe de le suivre, je me mets à le faire, comme un petit toutou, c’est étrange, mais c’est aussi le meilleur moyen d’apprendre à connaître quelqu’un et j’ai très envie d’apprendre un peu plus sur Eoghan.
Eoghan Mac Eagla
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Sam 29 Mai - 17:11
Par ce que tu as voulus venir? Nan??? Il a vraiment dit ça? Mon rire gras résonne sous ta caboche qui vire au rouge, tes yeux devenant deux globes gris, entre tes doigts crépitent des arc d’électricité. La colère grimpe a mesure que tu te repasses ses mots. « JE N’AI PAS EU LE CHOIX! JE L’AI FAIT POUR SURVIVRE! »
Un courant d’air puissant se lève dans le courant mais je ne peux te laisser porter la main sur un dragon d’émeraude, c’est trop risqué pour nous. Et je viens dévoiler une image mentale qui vient effacer toute cette colère la remplaçant par une peur immense, je te montre l’assemblée du coven et toi debout au centre de la scène, toutes lumières sur toi alors que tu porte une belle robe bleu et une paire d’escarpin vernis sombre…
Toute trace de ta magie s’évapore et tu poses sur le sorcier un regard sombre, lentement je viens glisser dans ton esprit. *Il ne l’a pas dit à mal Eo’, arrête de t’empoter comme ça… Présente lui tes excuses! Maintenant! Ne tourne pas le dos au seul gars qui peut t’aider ici…*
Tu pousses un long soupire et en fronçant tes sourcils tu viens dire: « Excuse moi… Comment dire… C’est un sujet qui fâche… On en parle plus s’il te plait! »
Tu abandonnes le vouvoiement, inutile après avoir exploser devant lui, laisse le venir à toi mon beau, laisse le entrer dans ta bulle, te soutenir et faire de toi la personne que tu devais devenir… Alors lentement avec un sourire timide tu viens poser une main sur son épaule, ton pouce caressant le tissus de son t-shirt. Tu plonges tes yeux bleu-verts dans les siens de glace, ton doigt caressant le tissus, quand tu te rends compte de ton geste ton visage tourne au cramoisie et tu ramènes ton bras vers toi comme quelqu’un ayant éviter de peu une brûlure et tu détournes ton regard gêné et timidement tu lui demande si tu peux lui offrir une bière ou un café et le dragon semble apprécier l’idée de la bière.
Tu lui fais signe de te suivre et en suivant le mur gauche du couloir tu t’avances vers la sortie, lentement, profitant de sa carrure de géant qui te suit, tu peux presque sentir ses yeux se poser sur toi, te dévorer. Cette sensation t’effraye autant qu’elle t’attire. Je laisse des pensées lubrique affluer dans ton esprit, image de son corps plaquant le tien contre le mur lisse, son visage a quelques centimètres du tien, ses lèvres prête à embrasser les tiennes, son souffle chaud faisant frissonner ta peau, et toi petite poupée de chiffon tu gémis et frémis alors que ses mains glissent sur tes flancs…
Je ricane dans mon coin voyant ton imagination travailler seule… Mon pauvre j’aime te voir comme ça… Je te protège mon fils…
Jude Parker
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Jeu 3 Juin - 17:43
Je l’ai mis en colère, je baisse légèrement la tête surtout quand il se met à me crier dessus … Ce n’était pas ce que je voulais dire, enfin je n’ai pas employer les bons mots et je m’en veux, je relève un peu la tête pour faire face a son regard.
« Oh.. ce n’est...pas... »
Puis je sens un courant d’air étrange, c’était étrange, au même moment, je perçois quelque chose dans ses pensées, une image … Je ne comprends pas toujours le sens des pensées des gens et je dois bien avouer que c’est parfois agaçant, mais là je ne sais pas, mais j’essaie de me concentrer pour me faire pardonner, trouver les mots, je m’embrouille moi-même dans mon esprit, mes pensées, je n’avais pas envie d’être un crétin de plus dans sa vie, je n’avais pas envie d’être catalogué comme une mauvaise personne a ses yeux, puis le courant d’air s’éloigne, disparaît, je me demande toujours comment je peux faire pour rattraper tout ça, lorsque je l’entends soupirer, puis je me mets à le regarder dans les yeux, je peux voir qu’il fronce les sourcils.
« Ce n’est pas grave, c’est moi, je m’excuse. ET pas de soucis, on oublie. »
Cela serait dommage de gâcher un début d’amitié, je n’avais pas non plus envie qu’il m’envoie boulet, alors que nous allons boire une bière ensemble, je sens qu’il vient poser sa main sur mon épaule, je plonge mon regard dans le sien, je me mets dedans, et alors qu’inconsciemment je me mets à entrer dans sa tête pour entendre ses pensées, c’est étrange, comme une barrière, j’essaie de ne pas infiltrer ses pensées, mais parfois c’est compliquer. Puis lorsqu’il s’écarte, je fais un petit sourire.
Je me mets à le suivre, passant le mur de gauche du couloir, on s’avance tranquillement à la sortie du Coven, je reste silencieux, une nouvelle fois, j’avais un peu peur de faire, ou de dire des conneries, des mots qui pourraient le blesser, ou alors l’énerver, je n’aime pas être ce genre de personne, je suis un peu un idéaliste, combien de fois j’ai su aider les gens avec mes mots et pourtant avec lui, je n’arrive pas, je me sens étrange, perdu, sous son charme.
Puis alors que j’entends certaines de ces pensées, des pensées positives, excitantes. J’ignorais pourquoi, mais inconsciemment, je me mets à rougir, c’était bien la première fois que quelqu’un avait se genre de pensée sur ma personne et c’était excitant, enfin je ne dis pas que je vais le plaquer contre le mur, pas pour le moment, je ne suis pas le genre d’homme qui s’envoie directement en l’air, enfin cela m’arrive, mais il me fallait un peu d’assurance et réellement savoir que je plais à quelqu’un, je vous l’accorde, c’est assez difficile de nos jours de savoir réellement, mais lire dans les pensées parfois ça facilite grandement les choses.
Eoghan Mac Eagla
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Jeu 24 Juin - 20:50
La sortie se profile devant toi, porte lumineuse au bout d’un couloir sombre, quelle ironie, semblable à la mort tu regardes le bout du tunnel et en souriant tu t’y engages, accélérant presque le pas, tu as besoin de sentir l’air frais se glisser sur ta peau, imaginant les doigts puissants de Jude faire de même, tu glapis à cette idée et tu secoues la tête pour la chasser. *« Arrête ça de suite ! Arrête de te jouer de moi, je ne suis pas pr… »*
Je ricane dans mon coin avant de dire : *« Pour le coup je ne suis pour rien mon enfant, cette fois tu l’as fait tout seul ! »*
Tu te retournes pour voir le visage de ton sauveur, du prince charmant. Et dans un nouveau glapissement, tu accélères encore, souhaitant de plus en plus de retrouver l’air libre et la liberté tant attendue.
Tu finis par pousser la lourde porte et tu retrouves enfin le ciel cotonneux de ton Irlande natale, une brise vient se glisser contre toi et tu pousses un long soupir de satisfaction. C’est paradoxal, car tu travailles dans le sous sol d’un hôpital, avec des morts, mais ça ne te dérange pas le moindre du monde, alors que d’être dans le sous sol de ce bâtiment, t’oppresse et te rend malade. « Tu connais un bar ou on s’arrête au premier truc que l’on croise ? »
Tu retournes pour poser ta question et tu finis ta phrase ton visage planté dans son torse, tu inspires et sent les effluves masculine transporter ton esprit dans un monde onirique ou tu le sens contre toi, sa peau nue caressant la tienne, tu te décroches d’un bond effaçant cette vision en secouant la tête, tu me fustiges d’arrêter de jouer avec tes émotions, mais encore une fois, je te le redis, rien n’est de ma faute. « Excuse-moi je suis un peu maladroit, enfin tu le sais déjà… »
Tu reprends une grande et profonde inspiration pour casser son musc qui commence petit à petit à t’obséder. « Alors où allons-nous? »
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Ven 13 Aoû - 15:28
Je me sens si... nul depuis que je l'ai mis en colère, je sais qu'il veut qu'on efface, mais je ne peux m'empêcher de penser que j'ai été con sur le coup, en plus de ça, le fait que je galère à lire ses pensées, enfin c'est tellement brouillon, ne m'aide pas, c'est plus facile quand on sait lire dans les pensées et de savoir si vraiment la personne nous pardonne, alors que je l'aide pour qu'on puisse sortir de la bâtisse, on sera sans doute mieux à l'extérieur. Mes doigts sur son corps pour l'accompagner, étrangement, je sens la rougeur de mes joues devenir en feu, il faut qu'on sorte que je sente l'air frais fouetter mon visage.
Je le suis, je me dépêche à mon tour, j'ai besoin de sentir l'air frais. Lorsqu'il arrive avant moi à la porte, je le vois ouvrir celle-ci et se diriger à l'extérieur, je lui emboîte le pas, je peux sentir le vent frapper de plein fouet mon visage et mon dieu ça me fait du bien. Je plonge alors mon regard dans le sien, je sens que je redeviens un peu plus tranquille, apaisé, un petit sourire en coin lorsque je l'entends me demander si je connais un bar sympa ou non, je me mets à réfléchir, il faut dire que je passe plus de temps à l'intérieur, parce que j'ai toujours un sacré problème avec mon pouvoir, mais je sais pas, j'ai l'impression que je peux le contrôler.
« Oh, je passe trop de temps à l'intérieur, donc on peut s'arrêter au premier bar du coin. »
Dis-je en souriant, alors que je sens son visage se coller à mon torse, j'avais envie de passer mes mains autour de son corps, puis lorsqu'il s'éloigne un peu, je me mets à sourire, plongeant mon regard clair dans le sien, tout en lui souriant, comme pour lui prouver qu'il n'y avait rien de mal.
« Pas de soucis, ne t'inquiète pas. »
Oh ça oui, je le sais déjà qu'il est maladroit. Je me mets à regarder aux alentours, si je me souviens bien, il y avait quelqu'un qui avait parlé d'un bar à quelques mètres de la batisse, je me dis que ça pourrait être une bonne idée d'y aller, puis ce n'était pas trop loin, en espérant qu'il ne se fasse pas mal, qu'il ne se tord pas la cheville.
« J'ai entendu dire qu'il y a un bar pas très loin d'ici... Si tu te sens prêt à marcher un peu ? »
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Jeu 26 Aoû - 20:51
« J’ai changé d’avis… Je ne veux plus boire un verre dans un bar. Allons nous promener… Enfin si tu le veux. »
Tu marques une pause, plongeant ton regard mordoré dans le sien d’un bleu profond. « Je n’ai pas envie de m’enfermer dans une pièce bruyante, ou je ne pourrais pas apprendre à connaitre mon sauveur… »
Tu esquisses le geste des guillemets avec tes doigts et dans un geste que je ne te connais pas, tu te saisis de la main de ton partenaire, pour l’attirer vers la forêt, pour le mener en dehors de la ville. Loin du monde, loin de la populace, loin des regards inquisiteurs.
Ses doigts dans les tiens, sa main brulante contre la tienne, électrifie les cellules de ton corps. Tes pas, lent, doux, glissent sur le sol humide de la forêt. « Excuse-moi Jude… Je suis une vraie girouette… Mais je voulais être tranquille pour parler avec toi… »
Dans le sous bois, occulté par les branchages, aucun rayon de soleil ne transperce la cime des arbres. « Je me dois d’être courageux… »
Tu avales ta salive difficilement. « En faite, si je te repousse ce n’est pas que tu ne me plais pas, c’est que bien au contraire, un truc chez toi m’attire. Au-delà de la raison… »
Tu baisses la tête honteuse et tu tentes de cacher le rouge de tes joues. « Mais… Mais je ne pouvais te laisser entrer dans ma vie. Mais ya que les cons qui ne changent pas d’avis. Alors laisse-moi t’expliquer. »
Alors que tes bas vous mène à un bosquet de chêne, tu lui demandes gentiment de s’asseoir et tu te places face à lui. « Je suis né homme, mais je ne me suis jamais sentie à ma place dans mon corps, je… Je ne me sens pas totalement homme. Je… »
Ta voix se brise et tu prends le temps de retenir les larmes qui te montent aux yeux et tu reprends. « Je ne sais pas ou j’en suis, je ne sais pas si je suis un homme, une femme, les deux ou aucun. Mais j’ai compris que si je voulais avancer, il fallait que je me confie à quelqu’un, que je te dévoile ce que j’ai là. Et je ne pouvais le faire entourer de rustre, d’alcoolique… »
Tu te rapproches de lui, tu poses une main sur son épaule. « Je comprendrais que tu ne veuilles plus me voir pendant quelque temps, que tu veuilles prendre le temps de réfléchir, et d’aviser des informations que je viens de te donner… »
Tu te retournes le laissant seul sur le tronc coupé, faisant quelques pas pour prendre le temps de respirer un grand bol d’air. De sentir le soulagement libérer ton cœur et ton esprit tourmenté…
Jude Parker
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Mer 12 Jan - 17:34
Je me mets à le regarder dans les yeux lorsqu’il me dit qu’il n’avait plus envie de boire un verre dans un bar, je suis assez surpris, mais je ne dis rien, j’avoue qu’être rien qu’avec lui me ferait du bien, je suis même ravis de cette proposition de se balader, plongeant alors mon regard dans le sien, mon sourire aux lèvres. « J’approuve à cent pour cent, cela va nous faire du bien de pouvoir marcher tranquillement, tant que ta cheville tiens le choque. » Dis-je en étant tout de même assez inquiet. « J’avoue que ça me dérangerait d’être enfermé dans un lieu où il faudra crier pour se faire entendre. » bon ce n’est pas aussi bruyant, mais j’aime aussi le calme. Je ne peux m’empêcher de sourire lorsque je le vois faire les guillemets avec ses doigts. Je frissonne lorsque je sens qu’il attrape ma main, je me mets à rougir légèrement, c’est quand même assez agréable.
Alors qu’on arrive dans la forêt, je me mets à le suivre, c’est quand même plus calme, je dois bien avouer que j’ai quelque chose avec la forêt, je l’aime, c’est calme, c’est agréable et puis on peut tout de même bien respirer entouré de ces arbres, j’aime la nature, je me mets à je fais signe négativement. « Oh, ne t’inquiète pas, je peux le comprendre et je ne pense pas que tu es une girouette, je trouve que tu as eu une excellente idée de venir ici. »
Puis je viens à froncer les sourcils lorsqu’il me dit qu’il se devait d’être courageux, j’ignore ce qu’il pouvait bien me dire, je l’écoute juste attentivement. Je rougis une nouvelle fois lorsqu’il me dit que s’il me repoussait, c’est pas parce que je ne lui plaisais pas, mais bien le contraire, il était attiré par moi plus que de raison, c’était assez étrange, mais en même temps ça me rassure. Le voyant baisser la tête, je pouvais aperçevoir une légère rougeur aux niveaux de ses joues, je m’approche de lui. « Je peux comprendre, parfois c’est difficile de laisser quelqu’un entrer dans sa vie, vas-y je t’écoute. » Je continue de le suivre jusqu’au bosquet de chêne, puis alors qu’il me demande de m’asseoir, je commence un peu à flipper je dois bien l’avouer, mais je fais ce qu’il me dis, j’étais là pour aussi bien apprendre à le connaître et aussi qu’il voit que je ne suis pas comme les autres.
Je l’entends alors me dire qu’il était né homme, mais qu’il n’était pas en accord avec son physique, je suis assez surpris, mais qui suis-je pour juger ? Personne, je me mets donc à le regarder toujours aussi attentif, je n’avais pas envie de le couper à chaque fois. Je suis ravis qu’il se confie et puis je comprends qu’il ne veuille pas avouer ça dans un bar, puis alors qu’il vient à s’approcher de moi et de poser une main sur mon épaule, je relève la tête pour le regarder. Je secoue une nouvelle fois la tête, il était hors de question que je prenne la fuite, bien sûr que ça me fait bizarre, mais en même temps, il me plaît, j’aime le regarder et je veux l’aider. C’est d’ailleurs pour ça que lorsque je lisais ses pensées c’était assez confus. « Je comprends, je ne veux pas que tu ais peur, mais lorsque je suis proche de quelqu’un, je dois avouer que je peux lire dans les pensées et je l’ai fais avec toi, sans le vouloir, ou peut-être si indirectement et j’ai senti, entendu que c’était confus, c’est la première fois que ça m’arrive. » Je sais que je prends un risque en lui avouant ça, je n’avais pas envie qu’il pense que je fais ça tout le temps, parfois ça va, mais da d’autre moment je ne peux pas contrôler et ça me vient comme cela. Je viens à me lever pour le rattraper, lui attrapant au passage sa main, pour l’arrêter et me mettre devant lui. « Oh, je n’ai pas besoin de temps, je veux dire, c’est vrai que c’est étrange, mais je pense que tu n’as pas besoin que je m’éloigne et je n’ai pas envie, je trouve que tu as eu du courage de m’en parler et je vais te prouver que ça ne me dérange pas et que si je peux t’aider à trouver les réponses, alors je serais la. »
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Mar 18 Jan - 21:48
Seul dans cette forêt. Seul en dehors du temps. Seul avec l’autre.
Dans une longue tirade, je lui explique ne pas savoir qui je suis, enfin ne pas savoir si je suis un homme, une femme ou même autre chose. Tout ce que je sais, c'est que je veux pouvoir me confier à lui, et que si un jour il me regarde, il ne voit que le vrai moi.
Je lui offre le temps de réfléchir, le temps d’assimiler l’information. Le temps de fuir s’il le désire. Mais il se redresse, le mouvement de l’air autour de son corps m’en informe. Ses doigts, puissant se referment autour de ma main et me force à lui faire face.
Les yeux dans les yeux. Nos cœurs battent à l’unisson. Respiration harmonieuse.
Il est franc, direct, il ne cherche pas à me surprotéger. Et j’aime ça ! Je ne suis pas d’une chose fragile. Je suis un thaumaturge, avatar de la déesse Morrigan, patronne des champs de batailles, souffleuse de peur et de mort. Je n’ai clairement pas besoin d’être surprotégé. Sur mes lèvres se dessine un fin sourire, sur mes lèvres le plaisir d’entendre ses mots se dévoile. Et avec lenteur, je me rapproche.
Dans un monde hors du temps. Dans un sous-bois féerique. Deux êtres s’embrassent.
Je resserre mes phalanges autour des doigts du télépathe, ma main sur son torse se faisant plus présente. Et dans mon esprit je murmure : *Aime-moi Jude…*
J’espère qu’il entend mes mots, qu’il sent tout ce que mon corps ressent pour lui. Depuis ce jour, depuis qu’il a tendu la main pour me venir en aide, qu’il m’a aidé à traverser ces interminables couloirs du Plaza Agency. Depuis que mon regard s'est plongé dans le sien. J’avais envie de l’embrasser, me refusant pour autant le droit de goûter le fruit défendu par peur de lui dévoiler qui je suis.
Je libère ses lèvres, un léger sourire illumine mon visage. -Excuse-moi… Je…
Le feu aux joues, je baisse la tête légèrement honteux…
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Mer 23 Fév - 18:01
Je me suis senti heureux, content qu’il ait la foi et aussi faire en sorte qu’il me fasse confiance, j’ai été surpris bien sûr de ce qu’il m’a avoué, mais ce n’était pas un problème pour moi, comme je dis toujours, je suis personne pour juger et si je devais juger quelqu’un, ça sera moi. Cela dit le fait qu’il s’éloigne sans doute pour me laisser du temps pour réfléchir, je n’avais pas besoin de temps, je voulais être sur, je voulais lui prouver que j’étais quelqu’un de fiable sur qui il pouvait compté quoi qu’il arrive et puis je dois bien dire que j’ai été attiré par cet homme. Je n’ai pas mis très longtemps, je me suis relever, puis très vite, je lui ai attrapé sa main, l’arrêter et aussi pour qu’il puisse me faire face.
Plongeant mon regard dans le sien, je me mets à le voir à avoir un petit rictus aux lèvres et alors qu’il vient à s’approcher un peu plus prêt de moi, je ne peux m’empêcher de sourire. Je sens alors qu’il serre ses doigts autour des miens, une drôle de sensation, très agréable même je dois bien l’avouer. Je frissonne légèrement sentant sa main sur mon torse, je ne sais pas pourquoi, mais je tente inconsciemment de lire ses pensées, avec je ne contrôle pas vraiment, je me si bien que parfois je perds le contrôle, mais c’était toujours aussi floue, malgré que je connais son secret, ou du moins ce qu’il ressent, je me suis toujours dis que si je ne parvenais pas à lire en lui, c’était sans doute parce qu’il camouflait ses pensées, je sais via ma grand-mère que certaines personnes avec un talent particulier pouvait brouiller leur pensée et je me dis que c’était sans doute ça.
Cela dit certains mots me sont venu à l’esprit, oh oui, je veux t’aimer, mais je ne sais pas si tu seras capables de vivre aussi longtemps avec un télépathe, ce n’était pas évident de vivre avec moi, on m’a toujours dis et puis il faut dire que je ne savais pas trop comment m’y prendre. Je me mets à sourire lorsque ses lèvres collent les miennes, ce qui me fait tellement plaisir, alors qu’il s’écarte, je viens à poser ma main gauche sur sa joue, toujours mon regard dans le sien, je n’avais pas envie de m’éloigner, je n’avais pas envie d’être trop loin, puis alors que j’approche mon visage prêt du sien. « Tu n’as pas à t’excuser, si tu savais combien j’en avais envie. » Puis je me mets à l’embrasser une nouvelle fois, scellant nos lèvres, je n’avais plus du tout envie qu’il s’éloigne, ma main sur sa joue la libère pour venir se poser sur ses hanches.
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