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 Visons du passé // Rouge/Marcus

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Marcus
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Ces derniers temps, la forêt bruisse bien plus que d’habitude mais depuis quelques heures, elle se tait et semble suspendre son souffle, présage de changement à venir.
Même s’il n’entend que les murmures de la faune, Marcus sait que quelque chose se prépare. Il ne sait pas encore quoi, mais il en perçoit les échos lointains. Le couvert des arbres devient le refuge de tout un tas d’animaux fuyant la ville.
Les rats ont été les premiers à s’enfuir, bêtes à l’instinct de survie si profondément chevillé au corps qu’ils sentent les choses bien avant tout le monde.
« Brume. Monstres. Envahie »
Les rats sont décidemment difficiles à comprendre.

Mais Corbeau lui a croassé une toute autre information.

« Humains ! Beaucoup humains. »
« Où ça Corbeau ? »
« Près des pierres dressées ! »

Voilà quelque chose d’inhabituel. Marcus a eu vent des va et vient réguliers de voitures et de camions depuis la ville jusqu’à l’ancien cimetière mais jamais en grand nombre.
Poussé par la curiosité, il arpente des chemins non balisés, des raccourcis aux côtés de Chien et de Rat. Ceux-ci s’arrêtent souvent, hument l’air, s’inquiètent de savoir que l’Humain qui Parle les suit bien à travers les ronces et les branches basses. Mais Marcus est comme chez lui dans la forêt. Voilà presque dix ans qu’il la parcourt, guidé par l’un ou l’autre animal.
« Pas un bruit » Ordonne-t-il à ses compagnons lorsqu’ils approchent de leur destination. Ils envoient Corbeau en éclaireur. L’oiseau est intelligent et possède le « vocabulaire » suffisant pour exprimer clairement ses rapports.

« Humains blessés, humains fatigués mais beaucoup armés. »
Marcus fronce les sourcils, décidément perplexe mais après tout, le genre humain lui échappe totalement. Peut-être est-ce normal ?
Non certainement pas, c’est ce qu’il se dit lorsqu’il voit l’air hagard des uns et des autres. C’est alors qu’il la voit.

Professeur Rouge Flemming.
La femme élégante qui venait à toutes ses évaluations.
La femme qu’il se devait de contenter.
La femme qui a surement signé la fin de son expérience.


Que fait-elle là ? Loin de son bureau et de son royaume ? Que fait-elle dans le sien ?
Il observe de loin, ses sens valides aux aguets et se déplace avec eux, sous le vent et dans un silence étonnant. Le groupe se sépare, se disperse. Certains prennent le chemin qui mènent à la route principale et vers le haras. Là où travaille Malone.
Il pourrait suivre ce groupe mais ses yeux sont irrémédiablement attirés vers cette femme. Elle est accompagnée d’une jeune fille, sans doute pas plus âgée que lui et à la rousseur des feuilles d’automne. Il patiente, met à nouveau Corbeau à contribution.

« Femme plus âgée s’éloigne ! »
« Merci Corbeau. »

Il s'avance, toujours sans un bruit et se place dans son dos. Il est proche. Assez pour contempler sa silhouette altière. Chien se trouve à ses côtés, tendu comme son compagnon Humain.
Presque dix ans qu’il ne la pas vue. Le reconnaitra-t-elle ? L’ado dégingandé et ramassé sur lui-même à bien changé. Il a maintenant le dos droit, fier, la stature plus développée d’un homme.

- Professeur Flemming, articule-t-il d'une voix rauque et un peu cassée, inusité, dans un de ses rares efforts pour parler. L’ICV s’est assuré qu’il sache s'exprimer presque comme un entendant, aidé par la musique des mots des Animaux et des Métamorphes. Même si ce moyen de communication lui apparait bien barbare et étranger.

Chien se tend à ses côtés, prêt à bondir et Marcus le calme d’un geste. Corbeau vient se juger sur son épaule et toise l’Humaine qui intéresse l’Humain qui parle.

De mémoire animale, ça n’est presque jamais arrivé.
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Rouge Fleming
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Le ciel et la Terre s'enfuirent de devant sa face sans laisser de traces.
Et je vis les morts, grands et petits, debout devant le trône [...]



Miracle et Jugement dernier, entremêlés.
Rouge a été témoin de cette fin du Monde en devenir, teintée de brume et de clameurs. L’on encense d’un côté, l’on dépérit de l’autre, les femmes et les hommes rescapé.es ne sont plus qu’une poignée d’élu.e.s au bord du chaos.

Car la ville a disparue.
Engloutie sous la nappe de brouillard, il n’y a plus rien à espérer.
L’Apocalypse a commencé.

Tous autour d’elle s’agitent, les cris et les larmes se déclenchent en cascades. Tous choisissent leur camp, pansent leurs blessures et rejoignent leurs êtres chers, quand elle-même s’en sent incapable.
Ses yeux, traîtres auxquels elle se raccroche encore, tombent sur la silhouette secouée de pleurs de l’Agneau Sacré.
Une enfant criblée de terreurs, elle aussi. Une enfant. Rien qu’une enfant…

Hors de la foule, elle a besoin de respirer. De penser, plus loin dans la forêt, de rassembler ses idées. Réfléchir, pragmatiquement. Se servir de la fatalité à son avantage, d’établir un plan, de…

Rien.

La vérité accable ses myriades de stratagèmes décousus, abattus par la fatigue et le remord.

La reine est en échec.
Défaite, et brisée contre les reliquats de sa détermination,
Rouge a échoué.
A tout ses principes, à sa mission, à sa raison de tenir encore debout malgré les dos tournés.
Unseelie a joué et a gagné.

Sa vision se trouble, d’un coup soudain. Un vertige qui la pousse à se retenir à l’écorce drue d’un arbre. Le contact lui paraît intense. Son toucher est d’une sensibilité exacerbé par ses lectures de braille, depuis son enfance.
Ses nerfs arrivent au bout de leur course. Elle le sent : sa propre damnation n’est plus très loin.

Que se passera-t-il, quand elle aura elle aussi, rejoint les cercles qu’elle redoute tant ?
Que se passera-t-il, quand la peur terrible qu’elle s’évertue à repousser derrière le confort de ses versets, viendra réclamer son dû ?

Loin de tout les autres, sauf d’elle-même, la tête lourde, l’armure de la Domination craquelle. Quelques larmes s’en échappent, dans un sanglot étouffé.
Sa faiblesse en martyr, en offrande à l’humanité.

« Professeur Fleming. »

Une voix, dans son dos. L’instant d’épanchement n’aura que peu duré. Tant mieux, en un sens. Elle retourne bien vite à son visage impassible, ponctué seulement d’une lumière humide au creux de son regard.
Regard qui se tourne vers un jeune homme d’âge moyen, aux traits marqués par la vie en forêt. Son visage se fend d’une surprise incapable de se cacher.
En dépit de sa condition, elle le reconnaîtrait entre tous.
Comme elle reconnaîtrait chacun des enfants Divins.

« … 068… ? »

Les chiffres sont égrainés, en syllabes de stupeur. En temps normal, elle rirait amèrement, devant un tel tour du destin. Mais il n’y a plus « normal », désormais.

Rien qu’un Armageddon composé de monstres ailés, où se délite quelques silhouettes du passé.

« … Que fais-tu ici ? Je te pensais... perdu, depuis longtemps. »

Son ton oscille entre sa fermeté habituelle et la profonde curiosité. Qui a donc choisi de mettre ce sujet sur sa route, à ce moment précis ?

Le Seigneur aurait-il encore un regard pour elle, malgré tout ?...
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Marcus
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Si Marcus n’a jamais entendu, il a toujours su voir, prêter une grande attention à ce qui l’entoure. Les petits choses, les détails minuscules, il les capte sans effort. Ses yeux compensent en partie ce que ses oreilles ne pourront jamais faire. Il note donc le très léger voile humide sous les yeux de professeur.

Elle…a pleuré ?

L’image d’une Rouge Fleming en pleurs ne colle tellement pas à celle qu’il a gardé d’elle qu’il penche la tête, intrigué. Cette différence, si infinitésimale soit-elle, est si incongrue qu’elle titille sa curiosité mais sa voix le rappelle à l’ordre. Comme autrefois.

- … 068… ?

Il se crispe, la fusille un instant du regard. Sentant la tension de leur compagnon, Chien montre les crocs et Corbeau lui donne un coup de bec affectueux sur la joue.
« Paix Chien…elle n’est pas une menace. »
Elle ne l’est plus. Depuis bien longtemps et cette certitude ancrée en lui, lui permet de se détendre soudain. Il caresse le plumage du volatile avant de signer, ses mains traçant des gestes précis dans l’air.

~ Ce numéro n’a aucune valeur ici. C’est Marcus maintenant. ~
- … Que fais-tu ici ? Je te pensais... perdu, depuis longtemps.
Le sorcier a un bref frémissement des lèvres, presque un sourire. Presque.
~ C’était avant que j’étais perdu, Professeur. Depuis, je me suis trouvé. ~
Même s’il ne sait toujours pas exactement pourquoi il a été créé, même s’il ne comprend pas non plus tellement quelle est sa place dans ce monde. Il sait au moins ce qu’il est, ce qu’il est capable de faire et ce qu’il ne veut plus.
Il ne sera plus jamais enfermé, la liberté est trop grisante et vitale. Il ne se laissera plus non plus utiliser comme un cobaye, ses pouvoirs lui appartiennent, à lui et lui seul. Il marque une pause, baisse les mains avant de reprendre.

~ J’ai suivi l’agitation qui perturbe la faune, il est rare de voir autant de monde dans la forêt. Il y a trop de changements, trop d’inquiétude qui troublent ses habitants. ~ Il hausse les épaules. ~ Et puis j’étais curieux. Et je vous ai reconnu. Je voulais voir si vous aussi vous sauriez me reconnaitre après tout ce temps. ~

C’est assez stupide de sa part, il s'en rend compte maintenant. Et pourtant, en regardant cette femme dans les yeux, un soupçon de nostalgie lui étreint le cœur, un reliquat de quelque chose dont il n’arrive pas à mettre le doigt dessus. Car si on lui apprit à se comporter comme un humain, on ne lui a pas toujours donner les clés pour comprendre les émotions. Il essaie depuis, parfois sans succès.
En attendant il poursuit.

~ Pourquoi étiez-vous tous près du cimetière ? Votre venue est liée à la fuite des animaux qui se trouvaient en ville ? ~
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Rouge Fleming
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~ C’était avant que j’étais perdu, Professeur. Depuis, je me suis trouvé. ~

Les traits esquissés dans les airs la ramènent vers de lointains souvenirs. Une époque où, jeune adulte nimbée de robes pieuses et d’éducation, elle obéissait aveuglément aux désidératas paternels. Studieuse à s’engorger de zèle, elle apprenait tout ce qu’il lui dictait, le moindre mot, le moindre son. Et vint le jour où il lui intima de compulser sans attendre le langage des signes. Pour le bien de nos recherches, lui avait-il précisé, dans ce sourire communicatif qu’il ne donnait qu’à elle. Et qu’elle lui rendait, comme le lien tacite de leurs âmes de chercheurs.
Elle apprit donc, aveuglément. Dés lors que 068 a ouvert les yeux dans les cocons fertiles des laboratoires cachés.
Et aujourd’hui, ses yeux épuisés parviennent encore à décrypter le code des gestes naturels pour le jeune homme. Pour encore un peu de temps, elle est capable de le comprendre.
Quelque chose la soulage, sans qu’elle ne puisse mettre un doigt dessus. Le savoir en vie, peut-être. Et surtout libre.
Il faut croire que c’est un motif récurrent chez ses fugitifs...
Tant que l’Apocalypse le leur permettra.

~ J’ai suivi l’agitation qui perturbe la faune, il est rare de voir autant de monde dans la forêt. Il y a trop de changements, trop d’inquiétude qui troublent ses habitants. ~
« … Tu as vécu en forêt depuis tout ce temps ? Comment as-tu fais pour survivre ? »

Ses propres mains répondent à son ancien sujet, moins rompues à l’exercice que lui. Elle a perdu en vitesse, en précision, mais s’exprime encore avec suffisamment d’aisance pour communiquer. La fatigue, cependant, n’aide en rien.
~ Et puis j’étais curieux. Et je vous ai reconnu. Je voulais voir si vous aussi vous sauriez me reconnaître après tout ce temps. ~

Une ombre de sourire passe sur son visage pâle. Le professeur met un peu de temps avant de reprendre, gravant dans ses pupilles l’image de l’ancien enfant, devenu grand.

« Tu n’as pas tellement changé. Tu es passé de l’adolescent au jeune homme en un rien de temps. » L’expression se détend, une fraction de seconde. Se laisserait-elle aller à plus de sentimentalisme, maintenant que tout semble perdu ? « Te revoir ne me rajeunis pas, en tout cas... »
~ Pourquoi étiez-vous tous près du cimetière ? Votre venue est liée à la fuite des animaux qui se trouvaient en ville ? ~

Elle marque un arrêt. Les images reviennent une à une et les miracles, comme les malheurs, reprennent leurs droits dans sa mémoire. C’est sa bouche et sa voix ferme qui s'expriment cette fois, d’un ton lent pour lui permettre de lire convenablement sur ses lèvres.

« … Il s’est passé beaucoup de choses, Marcus. Trop pour t’en donner les détails exacts sans perdre un temps précieux… mais il semblerait que l’extérieur de la ville soit préférable à ce qui se passe entre ses murs, désormais. »

Elle ne sait que peu de choses sur les secrets des bois. Elle ne saurait prétendre que les lieux sont sûrs, mais davantage que le brouillard urbain. Son regard passe de l’humain aux animaux, à la connivence, à l’aisance. Lui, le saurait peut-être.

« Mais puisque tu as toi-même senti ce qu’il s’est passé… je suppose que tu dois savoir te repérer aisément dans les parages. »

Sa demande brûle ses lèvres. Son regard, ancré sans faiblir dans le sien, est d’une franchise à toutes épreuves derrière les verres de lunettes.

« Je dois rentrer à l’Institut au plus vite. Si… tu consens à m’aider à retrouver mon chemin, j’oublierai que je t’ai vu dans les environs. »

Elle sait que le prix à payer est une valeur de poids. Elle sait aussi que certains le cherchent encore, en dépit des dix ans passés.
Un soupire. Rouge se sent au pied du mur. Son champs de compétence n’a jamais dépassé ceux de son domaine. En terrain inconnu… elle se sait incapable d’avancer.

« J’ai… besoin de ton aide. »

L’aveu est douloureux. Mais nécessaire. Elle est pourtant certaine qu’il refusera et qu’elle devra se débrouiller seule, à la charge de l’Agneau.
Mais il reste une chance… et en temps de crise, il serait incongru de ne pas la tenter.
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Marcus
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~ Pourquoi étiez-vous tous près du cimetière ? Votre venue est liée à la fuite des animaux qui se trouvaient en ville ? ~

« … Il s’est passé beaucoup de choses, Marcus. Trop pour t’en donner les détails exacts sans perdre un temps précieux… mais il semblerait que l’extérieur de la ville soit préférable à ce qui se passe entre ses murs, désormais. »

Marcus soupire. Evidemment. Les choses n’ont pas changé tant que ça. Il reste un être qui ne mérite pas qu’on perde son temps avec, un être qui ne mérite pas d’explication. Heureusement, il a depuis longtemps cessé de compter sur l’ICV, sur les Humains.

« Corbeau, pars aux informations chez les Humains. Survole de haut et fais attention à toi. »
« Pourquoi moi ? »
« Parce que tu es le plus intelligent. »
Le corvidé croasse son approbation et décolle dans une envolée de plume.

« Mais puisque tu as toi-même senti ce qu’il s’est passé… je suppose que tu dois savoir te repérer aisément dans les parages. »
~ Je suis chez moi.

Explication simple et précise qui ne demande pas plus de mot. Les réponses préférées de Marcus. Il attend la suite, la lit déjà dans ses yeux mais a décidé de ne pas lui faciliter la tâche.

« Je dois rentrer à l’Institut au plus vite. Si… tu consens à m’aider à retrouver mon chemin, j’oublierai que je t’ai vu dans les environs. »

Il la fixe un moment sans bouger ni signer. Il a parfaitement conscience que la situation entre elle et lui vient de s’équilibrer d’un coup. Plus de relation de pouvoir ou de puissance. Elle est perdue, lui ne l’est pas.

« J’ai… besoin de ton aide. »

L’aveu devrait lui tirer un sourire ou un rictus mais rien…il ne ressent rien. Rien d’autre qu’une sorte de soulagement étrange.
Non il n’est plus une simple expérience à qui on ordonne, il est un être à part entière à qui on demande. La différence est énorme. Il s’approche de quelques pas, se tenant toutefois toujours à bonne distance du professeur. Elle semble fatiguée, extrêmement épuisée, enchâssée dans un rôle, porteuse de masques multiple et pendant un bref instant il la plait. Il peut être celui qu’il souhaite. Lui est plus libre qu’elle ne le sera jamais.
Son regard bleu intense ne la quitte pas.
~ Vous n’avez rien à m’offrir que je n’ai déjà. Je sais que vos ressources sont trop précieuses pour vous permettre d’en lancer à ma poursuite dans la forêt. Vous vous fichez de savoir où je suis. Vous n’avez pas besoin de moi. Vous n’en avez jamais eu besoin.  
Il lève soudain la tête vers la cime des arbres et ouvre grand les bras.
~ Ici c’est chez moi, répète-t-il.

Il a une esquisse de sourire.
~ Mais je veux bien vous aider. Même si je comprends pas trop pourquoi vous voulez y retourner. Il pivote la tête vers la bonne direction à prendre. Là-bas on est tous le pion de quelqu’un. Vous aussi. C’est la fin du monde à priori. Si j’étais vous, je commencerai à chercher ce qui compte vraiment pour moi. Il hausse les épaules. L’ICV ne donne jamais rien. Il ne fait que prendre. Venez…faut chercher l’Agneau…
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