Nouvelle Famille Feat Les Siphons

Date d'inscription : 24/06/2019

Depuis vos retrouvailles, vous ne vous quittez plus. Lucy est tout pour toi, tu ne peux pas la perdre une seconde fois pas après tant d’année de séparation. Mais une peur subsiste, celle d’être découvert! La peur que par votre ascendance de Siphons vous soyez pourchassé et tuer. Tu connais les histoires, tu sais ce qui est fait aux Siphons, tu as lu les livres et maintenant cette peur est bien ancrée en toi... Tu dois vous mettre à l’abris, Earl pourra peut être faire quelques choses pour vous, s’il ne le peut pas alors tout est perdue...

Tu cherches un moyen de vous sauver, Lucy mérite de vivre plus longtemps, elle a été seule une majeur partie de sa vie et tu lui as permis de ne plus être seule, d’avoir de la « Famille », d’être aimée comme elle le mérite.

Vous marchez tout les deux accompagnés par un géant, un homme qui répond au prénom d’Astérion, il vous a trouvé alors que tu fuyais vers le Salzen, ancien lieu de regroupement de ton ordre, absorbé par l’Ordre d’Émeraude. Tu as peur pour ta vie et la sienne, alors tu as préféré prendre la fuite vers ce lieu qui se rapproche le plus d’un chez-soi...

Asterion était sur votre route et vous as demandé de le suivre, il sait qui nous sommes et il est là pour nous venir en aide... Très bien, si quelques choses ne va pas ou si tu sens de la violence tu pourras agir et tu pourras compter sur moi, rien n’est plus important qu’elle...

Date d'inscription : 04/07/2019

Tu retrouves le sourire d’une certaine manière. Quand le guérisseur t’as appelé quasi en urgence pour te demandé quelque chose, tu as foutu bébé Gah de huit ans dans un espèce de porte bébé adapté pour un GROS bébé que tu as foutu sur ton dos et hop ! Direction le cimetière… et là. C’est la putain de double surprise. Déjà, tu as une avancée sur les origines du machins qui dévire son poids en viande, mais en plus !! En plus !! Tu sais où trouver un nouveau Siphon. Tu n’as pas cherché plus loin et tu es allé directement les chercher. Oui, les.. Le gémeaux.. c’est d’ailleurs la première chose que tu as dit en les voyant.

- Gémini...

Tu as presque sauté de joie et leurs a tendu les bras en t’annonçant. Tu t’es présenté comme étant Astérion ou Taurus s’ils le voulaient. Au choix pour eux. Et avec Gah sur le dos, tu leurs a dit qu’ils pouvaient te suivre sans soucis. Tu as appelé les autres et tu as filé avec les deux rouquins chez Robin.

- Vous allez voir, les parents d’Scorpio sont adorable

Que tu dis en toquant à la porte. Tu leurs souris chaleureusement, pour qu’ils soient à l’aise.

Date d'inscription : 13/01/2020

Elle trépigne. Elle se hâte. Elle va, de pièces en pièces, de besogne en allégresses. Ici, elle ajuste les coussins du canapé. Là, elle aide aux préparatifs des derniers petits fours. Tout est bon pour occuper son impatience, au grand dam de ses parents, tentant tant bien que mal ne freiner les élans de leur enfant.

« Calme-toi chérie, tu vas finir lessivée avant même qu'ils n'arrivent ! », s'amuse Steven, avant qu'elle ne lui prenne des mains le plateau de mini-sandwichs qu'il vient de terminer.

Robin a le cœur trop léger pour répliquer, le ton chantant et la mine réjouie. Tout est prêt pour accueillir les nouveaux venus de la famille. Une réunion au sommet, comme jamais le Culte n'en a vue auparavant. Et c'est chez elle qu'elle se produit ! Elle se devait d'être irréprochable. Et surtout, que tout le monde soit à l'aise.
Elle avait une confiance absolue en Astérion. Elle savait qu'il serait à l'heure. Mais ça ne l'empêchait pas de scruter la grande pendule de l'entrée avec appréhension, lissant nerveusement les plis de son pull rose poudré.
Le lieu et de l'adresse de la réunion étaient parvenus à tout les siphons dévoilés à Tir Nà Nog. Elle ne les connaissait pas tous aussi bien que le Taureau, mais elle espérait que tout le monde parviendrait jusqu'ici sain et sauf...

La ville est très étrange, ces dernier temps.

Des coups frappés à la porte d'entrée interrompent le fil de ses pensées. Bill est plus rapide qu'elle et ouvre, dévoilant son plus beau sourire commercial à l'ami de sa fille.

« Aah, bonjour ! Nous vous atten-
- Térion !! »

Ni une ni deux, Robin pousse son père de l'encadrement de la porte comme un fétu de paille et se jette au cou de son homologue astral. Un rire éclatant résonne sur le pas de la porte, tandis qu'elle revient sur terre.

« T'es en avance ! C'est super !! »

Elle ne remarque le petit baluchon qu'une fois les deux pieds au sol, surprise d'y voir un petit enfant dépasser du tissus.

« Ooh... Mais... » Elle cligne des yeux. « Mais je savais pas que t'avais un fils... ! Pourquoi tu m'as rien dis ?! »

Elle est éberluée face au petit pendant une poignée de secondes. Mais son attention est vite braquée sur les deux autres jeunes gens derrière son ami. Un garçon et une fille. Un peu plus âgés qu'elle... mais tout aussi roux ! Elle leur sourit à leur tour, de manière égale et naturellement tendre. Ce sont eux, les fameux gémeaux. Elle les aime déjà.

« B-Bonjour ! » La timidité la gagne. Elle est impressionnée, soudainement. Comme à chaque fois que l'un d'eux surgit pour rejoindre les rangs. « J-Je suis Ropio... Euh Scorin... Non ! R-Robin ! Pardon ! Ou bien Scorpio... comme vous voulez... ! »

Ses bafouillis l'ennuient et la font se sentir petite souris. Son visage brûle de honte. Quelle entrée en matière, bravo... Elle voudrait disparaître, là, maintenant, tout de suite. Heureusement que ses pères sont là pour la sortir de cette situation embarrassante.

« … Ce qu'elle veut dire c'est : Je suis enchantée de vous rencontrer, entrez, allez-y, mettez-vous à l'aise. » Bill est le plus avenant des deux. Son passé de directeur d'un des plus grands magasins de Picadilly Circus a fait de lui un homme parfaitement à l'aise en société, contrairement à sa petite fille adorée.
Steven prend la tangente, saluant les invités d'une poignée de main amicale et franche.
« Robin a préparé un buffet pantagruélique pour vous accueillir, j'espère que vous n'avez rien mangé depuis ces trois dernières semaines...
- Papaaa ! »

La table du salon regorge en effet de victuailles diverses. Canapés, pâtisseries, sandwichs... La rousse n'a pas hésité à diversifier les douceurs, ne connaissant pratiquement rien du régime alimentaire de la plupart de ses invités. Elle y a passé toute la journée mais, au moins, il y en a pour tout les goûts...

« Vous êtes les premiers mais hum... les autres ne devraient pas tarder... J'espère ! Vous voulez boire quelque chose ?... On a euh... tout ! »

La gamine reprend un peu de verve, mais le constat est clair : elle est heureuse au point d'exploser littéralement sur place !

Date d'inscription : 26/03/2020

« Où est-ce que tu vas comme ça en plein jour, blanche-neige ? »
« Régler des comptes. »
« Je croyais que ton job c'était la nuit... Je dis quoi, si Paula te demande ?»
« La vérité, Doug. Je n'ai pas besoin d'un chaperon et je suis assez grande pour me justifier auprès de Paula. »
« Comme tu veux, reine des glaces. »

Le gitan grommelle, assit sur une vieille chaise tout en taillant un bout de bois à l'aide de son couteau de chasse alors que que sa comparse, chaudement lové dans un manteau, ajuste sa lourde capuche sur sa crinière pâle qu'elle prend soin de caché. Comme son visage d'ailleurs. Canne à la main, elle balaye le sol devant elle, la mine sombre, l'agacement peint sur ses traits sordide. Rien chez Lune ne laissait transparaître une quelconque forme de bonne humeur, bien au contraire... Il faut dire que depuis ce petite passage dans le brouillard, les choses avaient grandement changé... Premièrement, son ego avait prit un sale coup quand elle s'était retrouvé totalement démunie et transporté sur l'épaule d'une démone à la force inhumaine. Sérieusement, se faire sauver l'échine de cette manière et par ce genre de créature était pire qu'un coup de masse sur le crâne. Secundo, retrouver Lucjan après tant de temps sans le voir, sans savoir ce qu'il advenait de lui. Et pour finir, il y avait ces images persistantes de ce duo qu'elle avait furtivement croisé durant cette mission catastrophique. Quel était leur nom déjà... ? Impossible de s'en souvenir, il faut dire que Lune, dans sa grande misanthropie, n'était pas du genre à donner de l'importance à toute un groupe de volontaires au courage aussi bancale que dangereux. Mais le fait est que si ses yeux ne lui permettait pas de voir comme le commun des mortels, son esprit lui, s'amusait à lui envoyé des images plus au moins précise de ces jumeaux à la chevelure flamboyante. L'une avait l'air d'un chiot adorable à qui l'on aurait vendu père et mère juste pour le plaisir de voir son sourire, l'autre avait l'air aussi méfiant que peu enjoué. Le jour et la nuit mais puissamment lié par quelque chose qui allait au delà de toute mesure. Lune avait bien tenté de refouler ces images mais au fil des jours, c'était devenu persistant jusqu'à devenir prodigieusement énervant. Bientôt, même ses rêves furent jonché par l'apparition des deux morpions puis d'autres visages se joignirent à eux jusqu'à ce qu'elle revoit à nouveau ce cercle d'individus qu'elle avait entrevu en touchant la main de ce .. Tùlio. Quel était le rapport entre tout ces gens ? Elle ne tarderait pas à le savoir, après tout, sa dernière vision avait été clair, très clair, elle avait vu une maison, une adresse, la page du journal avec la date en premier plan... Tout était là pour savoir où aller et quand.

Alors qu'elle sort quelques billets de sa poche, elle les tends au chauffeur de taxi qui s'empresse de saisir son dû , comptant son contenu avant de lâcher, forçant Lune à stopper son geste alors qu'elle s'apprête à sortir du véhicule.

« Madame ! Vous m'avez donner le double ! »
« Et alors, vous auriez préféré le triple? » rétorque la femme froidement, sans même un sourire.
« Non c'est juste... votre monnaie, madame... » minaude t-il, inquiet.
« Gardez-là, pourboire. »
« C'est beaucoup ... Je voudrais pas qu'on m'accuse d'avoir profiter de la faiblesse d'une personne de votre euh... condition...»

Lune se fige et retient son souffle un instant. Pour crétin, idiot fini. Elle relève enfin le visage, chose qu'elle s'était abstenu de faire jusqu'à maintenant et le visage en direction du chauffeur qui découvre enfin sa pâleur et ses yeux d'un blanc laiteux. Un rictus de dégoût traverse le visage de la chasseresse avant qu'elle ne siffle d'un ton glaciale et austère.

« Dites-vous que vous êtes payé à juste rétribution pour vos services. Vous avez été un bon chauffeur qui s'abstient de poser des questions. Je n'ai jamais aimé les gens trop bavards. »

Et sans un mot de plus, elle ouvre la portière, sortant tranquillement avant de la claquer, laissant le pauvre homme perdu au volant avec une quantité d'argent non négligeable entre les doigts. L'impolitesse de l'albinos est à la hauteur de son absence de gentillesse mais qu'importe, lui fut bien payé après tout. Lune monte remonte l'allée, canne en main, laissant son esprit se câbler sur les énergies alentours. Là, c'était cette maison, n'est-ce pas... ? Elle reste un moment inerte, se demandant si elle avait bien fait de venir. Mais pouvait-elle encore ignoré les appels incessant de son esprit ? Lune devait en avoir le cœur net, quelque chose la reliait à ces gens, mais quoi ? Là était toute la question. Serrant les dents, elle glisse sa main dans sa poche, effleurant machinalement sa pipe remplit de tabac et d'opium . L'envie l’étouffait comme un étau. Rien qu'une bouffée, maintenant, pour calmer ses nerfs... Elle relâche l'objet taillé dans le bois et se met en marche. Pas le moment de penser à ces pulsions, elle est là pour une bonne raison. Face à la porte, Lune abaisse sa capuche, laissant tomber son imposante crinière blanche dans son dos puis vient toquer à la porte du bout de ces jointures. Un sourire ? Même pas, elle reste là, la mine renfrogné, mauvaise. Rien qui n'inspirera confiance à qui ouvrira cette porte...

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Une réunion, comme il les adores. Sans sarcasme, voir la grande majorité des Siphon, il aime ça. Alors quand il a eu la nouvelle, surtout considérant que ça venait avec un nouveau ou plutôt deux dans leur cas, faut pas s’étonner qu’il était en jubilation. Du coup, il n’a pas hésité deux secondes quand le moment est venu. Il s’est mis sur son 31 pour l’occasion. Bon, sur son 31 c’est relatif à chacun, mais pour lui, c’est ça la définition d’être sur 31. Il est sombre aujourd’hui et ça, c’est rare. Il est plutôt reconnu pour ses habillements flamboyant et coloré. Et pourtant, en ce jour de joie, il a décidé d’y aller sobrement. Peut-être pour ne pas effrayer les nouveaux ? Ou parce qu’il a oublié de faire du lavage depuis trop longtemps ? Surement plus la deuxième option. Mais peu importe. Il se prépare et part bien d’avance, puisque comme toujours, il est à pied. Ça lui permet de se griller 4 ou 5 clopes en chemin et ainsi éviter de trop déranger les gens avec sa fumé pour le reste de la journée.
Quand il arrive, il a un de ces gros sourires. Pourquoi ? Parce qu’il aperçoit cette crinière blanche qui cogne à la porte. Il la reconnait tout de suite, contre toute attente et il ne sait pas pourquoi, mais il est content de la voir. Il s’approche donc d’elle et passe un bras autour de ses épaules en arrivant à son niveau.
Tu sais, beleza fatal, faut cogner plus fort si tu veux être sur qu’ils t’entendent.
Il embrasse le dessus de la tête de la fameuse femme et cogne plus fort. Il se permet ensuite de rentrer, entrainant la jeune femme avec lui.
J’ai ramené de la compagnie! Ainsi annonce-t-il son entrée.

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PIVETTE

Date d'inscription : 05/07/2019

Comment en était-elle arrivée là ? A débarquer dans un van plus lumineux que l'soleil qui chante à tue-tête des chansons de Noël, avec collée aux basques une gosse cracheuse de lumière ramassée dans la nature, pour aller rencontrer un tas de gens qu'elle connait ni d'Eve ni d’Adam et apparemment sont comme elle ? La vie, les gens. Les gens, la vie. S'il fallait trouver une explication à chaque virage pas prévu dans sa vie trop cabossée, le résultat serait encore plus chiant qu'une brosse à chiotte.

Et puis, c'est pour ça qu'elles étaient revenues en Europe, non ? C'est justement pour trouver plus d'info sur ce bordel, les siphons et tout ce bousin. Alors autant touiller la merde jusqu'au bout et que ça ne soit pas pour rien. De toute façon, Gervaise a tenue à venir. Et si sa douce en est, Fran se sent capable de botter le cul du monde entier s'il le faut.

Quand le mini-van se gare devant la porte, Fran siffle en voyant leur destination. Ca sent le fric, ici. Ca sent sacrément le fric. Oh purin, ca va être des bourgeois, à tous les coups. Est-ce qu'ils sont tous aussi allumés que Niàm ? (Qui crache de la lumière.. Est allumée.. Vous captez ? Oh Fran ta gueule.).

Quand enfin il faut mettre un godillot dehors, l'air est assez frais pour que Fran ait presque envie de regretter ne pas avoir un bonnet. Presque. Ne poussons pas trop : elle a assez de mauvaise foi et de fierté pour traverser l'Alaska sans ça, c'est pas un petit hiver d'Irlande qui va la faire reculer. Son crane rasé fait donc un puissant fuck au vent, alors qu'elle s'avance vers la porte. Son plus beau blouson noir, ses meilleures grosses docs, son look le plus grunge et rock qui soit : voila ce qu'elle offre à la vue. Histoire de donner le ton. Et puis Gervaise porte assez de couleurs pour compenser de toute façon.

Devant, deux zozos qui rentrent et referment sans les voir arriver. Des inconnus. Oh bordel, y aura beaucoup de monde, à ce truc ? C'est pas que Fran laisse généralement Gervy gérer le causage parce qu'elle ça la saoule mais.. Si. C'est totalement ça.

- Bibiche, soyons claires. Ca sera surement des chiots. Mais on n'adopte pas tout le monde, hein ?

Ca sonne comme un vœu pieux, un espoir qui n'a que peu de chances de se concrétiser. Dans sa main droite, un panier avec des biscuits faits main dedans. La plupart sont juste des gâteaux normaux. Certains d'entre eux, que Fran prendra soin de choper directement sous prétexte que c'est pour sa condition, sont des space cakes fait maison. Et c'est vrai, c'est pour sa condition : au cas où tout ce blabla et cette sociabilisation lui tape trop sur les nerfs. Fran est déjà tendue comme un string qui a rétréci au lavage, alors hein. Ca peut pas lui faire de mal.

- Foutues pour foutues, lisons Schopenhauer et allons-y.

A-t-on assez souligné que Fran n'est pas la personne la plus à l'aise dans les bains de foule ? Avec un soupir, elle va quand meme bravement à la porte et y toque résolument. Les sonneries avec leurs sons souvent stridents, là.. Non. Juste : non.

Date d'inscription : 17/12/2019

Aujourd'hui, ça rigole pas!
Aujourd'hui, on rencontre la belle-mifa!
Gervaise s'est mise sur son trente-et-un : Grosses lunettes teintées en forme de coeur, crop-top rose poudré avec une licorne en strass en motif, une mini-jupe satinée parme à lacets, un bombers rose-barbie qui chatoie, des collants léopard fuchsia, des cuissardes en vinyle blanc multichrome, un tas de breloques qui tiennent plus de jouets kinders que de bijoux et par dessus tout cela un sémillant manteau en fourrure de mammouth rose. Elle n'a pas lésiné sur le maquillage arc-en-ciel : une première impression est toujours primordiale !
Très fière de sa décoration du van et de ses fantabuleux petit sapins roses, Gervy se félicite que Fran ait trouvé d'elle même une étoile-boule-à-facettes pour parfaire l'ensemble : Une étoile de Niàmel ! (Niàm... Noël ? La gosse qui s'illumine toute seule ? Vous suivez ? Oh Gervyyy je t'en priiiiiie....)

Coup de frein.
Arrêt sur image.
La baraque lui rappellerait presque son propre manoir, dites donc!

- Prêtes à s'enjailler mes frimousses ? fait-elle à sa femme comme à sa bouille de Niàmel (... Boule de Noël! Hihi ... Gervy, voyons!) tout en tendant un panier garni à Fran. On vient pas les mains vides en plus! C'est pas des chips et du coca, ça, mes cailles !
- Bibiche, soyons claires. Ca sera surement des chiots. Mais on n'adopte pas tout le monde, hein ?
- Et si c'est des chatons, j'ai droit ? Ouuuh.... fait pas ta tête toute chiffonnette, ma Franny! C'est promis ! Pas d'adoption spontanée! Croix de bois, croix de fer, si je mens, une licorne disparait de l'univers !

Les trois femmes se retrouvent devant l'entrée, annonciatrice de réponses et de promesses.

- Foutues pour foutues, lisons Schopenhauer et allons-y.
- Laisse donc Shoppy où il est, Doucette! Elle glisse sa main tavelée dans la sienne. Chuis ton porte-bonheur attitré.

Tocade de porte.
Porte qui s'ouvre.

- Booonjour ! On vient pour la Siphonnade! pétarade-t-elle.

Date d'inscription : 03/07/2020

Tu as été ballonné un peu partout aujourd'hui, mais comme tu te sentais d'humeur curieux, tu es resté en mode enfant de huit ans. Et tu as adoré être sur le dos du Siphon. Des fois tu es aussi sur le dos de l'Humain, mais là, il était parti. Et apparemment, Té-Té avait besoin de bouger. Tu ne connais pas les gens qu'il a rencontré, mais tu as vu un autre sorcier, celui qui a décrypter ton nom. Puis tu as vu deux têtes de carottes avant de te rendre compte que tu avais besoin de dormir un peu. Tu t'es pas réveillé de suite, si ce n'est que parce que tu as senti une odeur de viande... viande? Viande cru? Tu as ouvert les yeux et tu t'es secoué dans ton porte enfant tel un bébé Yoda dissident.

- Gah!!

Que tu as clamé pour dire ta frustration de ne pas bouger, commençant à grandir. Tu ne fais pas attention au monde présent dans le manoir et tu as de la chance que Té-Té réagis vite. Il te pose et te laisse aller vers le buffet. Tu entends au loin une explication à la plus jeune de la pièce.

- C'pas mon gamin, il est arrivé chez Sarto du jour au lendemain. J'espère que tu as de la viande crue en rab.

Tu attrapes la première assiette de carpaccio dans le coin et la mange, entre tes petits doigts et bouche d'enfant de moins de dix ans. Tu redresses ensuite la tête pour voir le petit monde qui s'est agglutiné.. que des sorciers. Fascinant. Tu leurs fais un grand sourire Venomien et cours vers ton Siphon pour se caler contre sa jambe, tel un enfant timide.

- Gah!!

Tu hisses les bras, l'assiette toujours en main et attend que le Siphon te portes dans ses bras. C'est mieux en hauteur. Là tu peux mieux voir le monde. La petite. Ses parents. Les jumeaux têtes de carottes. Oh une grande blanche... et un blond... puis plus lion c'est qui les deux grannies avec la petite? Tu ne sais pas, mais tu es curieux d'en savoir plus.

Date d'inscription : 01/12/2020

Qui aurait cru que tu suivrais cette femme partout et qu’elle deviendrait une sorte de mentor pour toi ? Bon pas la peine d’en faire tout un plat mais au moins elle sait répondre à quelques-unes de tes interrogations et puis Gervaise sa compagne est vraiment un amour même si tu n’arrives pas encore à trop cerné son travail...

Te voilà embarqué avec elles dans leur mini van, décoré aux couleurs de Noël à la Gervaise, prêtes à rejoindre une réunion secrète de sorcier. Fran a prit le temps de t’expliquer qui vous êtes toutes les deux, des sorcières aux capacités particulières qui ne se débloque que dans de certaines conditions. Par exemple pour toi c’est quand le soleil se couche et que les étoiles et la lune illumine le ciel pendant la nuit, d’où cette soudaine arrivée d’énergie dès que le soleil disparaît derrière l’horizon. Tu n’as pas trop compris celui de Fran et tu la soupçonnes de ne pas trop savoir non plus...

Le van se stoppe dans un crissement de frein devant une grande maison victorienne et sans trop patienter tes tantines, comme tu les surnommes en secret pour ne pas froisser Fran, sortent du véhicule et tu les rejoins dehors en sautant sur le trottoir. Tu tournois sur toi-même en regardant de tout les côtés fasciné par le quartier qui t’entoures.

Tu te retournes et vois les deux femmes continuer leur route sans t’attendre, tu les rejoins en trottinant. Fran comme à son habitude râle et Gervaise elle soutient sa belle et tendre, elles sont si mignonnes toutes les deux, tu les jalouses un peu de voir tant d’amour, tu espères que quelqu’un t’aime comme ça un jour...

Fran toque à la porte et tu fais un pas de reculer, es-tu prêtes à affronter une assemblée de sorciers ? Es-tu vraiment une des leurs ? Tant de question parcours ton cerveau et une crise de panique commence à grossir, tordant ton estomac. La porte s’ouvre et Gervaise entre en hurlant :
« Boooonjour ! On vient pour la Siphonnade ! »

Cet élan de joie te donnerais normalement le sourire si tu n’étais pas dans un tel état de stress. Les femmes entrent et tu les suis cachée dans leurs ombres... Un grand groupe de personnes assis autour d’une table vous dévisage, tu souris bêtement, salut tout le monde d’un geste de la main et fini par à avancer pour venir t’asseoir à côté d’un garçon roux et de ce qui semble être sa sœur jumelle. Un groupe bigarré s’ouvre à tes yeux, tu es émerveillée et surprise par toutes ses personnes qui ne ressemblent pas mais qui sont toutes liées par le destin...

» There is no God higher than Truth \\ feat Ohanzee
» Nouvelle Lune {Selen&Kaelig}
» Let's kill the fucker (ft. la famille bidasse)
» C'est la boombe! (feat Baphomet)
» Run. Run for your life // feat Beitris

RP

Nouvelle Famille Feat Les Siphons